Les structures féminine oeuvrant dans la cité frontalière de Kasindi-Lubiriha, s’activent d’avantage dans la sensibilisation communautaire pour limiter la progression de multiples cas d’avortements et d’abandons d’enfants.
Selon madame Mireille Kubota de l’ONG ACOP, l’heure a sonné où les jeunes filles qui se retrouvent dans l’erreur de la précipitation conjugale notamment, avec les grossesses précoces et indésirables de bine vouloir privilégier la sacralité de la vie humaine.
Il convient de signaler en outre qu’un enfant de sex masculin qui avait été abandonné par sa mère biologique quelques minutes juste après sa naissance dans les agglomérations périphériques du village de Kamirongo, est décédé récemment suite aux malaises d’ordre sanitaire que ce nouveau-né manifesté en dépit d’une prise en charge médicale, sous la responsabilité du service des affaires sociales DIVAS antenne de Kasindi.
Après l’OEADH de condamner les multiples cas d’avortement et d’abandon d’enfants dans la cité frontalière de Kasindi.
L’ONG solidarité, professionnalisation pour la promotion du développement intégral et le droit de l’homme (SOPRODI DH) par le biais de son coordonnateur Kasereka Kaputu Alphonse, appelle les chefs des familles à un sens élevé de responsabilité civile au sein de la communauté locale.
PAUL ZAÏDI
Beni : Les ONG s’insurgent contre l’abandon des bébés et l’amplification des avortements volontaires à Kasindi
