la journée dédiée à l’écrivain africain, a été célébrée le mercredi dernier en ville de Goma, dans une matinée de réflexion organisé dans la grande salle de la paroisse catholique Mont Carmel, par la clinique des jeunes écrivains réunion au sein du Groupe artistique Bandilika.
Les jeunes ont à cette occasion réfléchi sur le bilan de la littérature africaine qui visiblement est en dégringolade en province du Nord-Kivu et en ville de Goma, conformément aux avis des participants à cette réflexion qui au finish ont pris l’engagement de lutter pour la promotion de l’écrivain africain.
Le CT Philippe Banza de l’université catholique la sapientia de Goma, a dans son intervention développé différentes définitions deg l’œuvre littéraire et de l’écrivain. Ainsi, dans sa considéra du romain écrit comme un miroir visualisable dans la société, il estime que la lumière de ce miroir devra servir de guide et correctif dans le rayon de projection. Une fausse œuvre étant le miroir brisé, reflétera une lumière erronée. L’écrivain devra être une personne dévouée pour orienter la société en se débarrassant de l’hypocrisie.
L’écrivain Patrick Bassham Bashonga coordonnateur du groupe culture et d’écrivains Badilika, organisateur de l’activité, a inscrit cette journée comme une occasion d’évaluer la santé de la littérature gomatracienne qui évoluent avec la naissance d’un courant d’écrivains de Goma qui ont trop écrit sur la culture du Nord-Kivu.
Il a lancé un appel à toute la population de la ville de Goma et d’ailleurs au soutien de la jeunesse qui se donne à l’écriture.
Gabriel Ishara Kashugushu
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