Les membres de « CJPSE » vivent actuellement dans une insécurité totale suite aux menaces de mort leur proférées par le général autoproclamé Jacques Kalondero et son équipe.
Pour cause, la publication du rapport synthèse qui date du 17 février parlant des faux Maï Maï dans le groupe rebelle Léopard qui avait choisi de se rendre en date du 09 février 2021 devant plusieurs autorités dans l’objectif de contribuer au développement du pays en intégrant la vie civile.
Dans une alerte signée par le président du conseil d’administration de cette organisation, Mr Kakule Kombi Gentil, l’on indique que Kalondero est l’auteur de leur insécurité, car ayant menancé et intimidé certains membres de cette organisation quand ils sollicitaient la copie du rapport synthèse qui parlait des faux « Maï Maï » que le Cercle des Jeunes pour la Promotion Socioéconomique qualifie d’une infraction punissable par le code pénal congolais.
Depuis le début de ces menaces, les activités du CJPSE ont été perturbées.
Suite à cela, le CJPSE recommande au comité territorial de sécurité de prendre des dispositions idoines pour sécuriser les membres du CJPSE ainsi que ses locaux, d’exploiter avec tout intérêt le rapport synthèse du CJPSE du 17 Février 2021 et de tirer toutes les conséquences qui s’imposent.
Cette structure demande aussi au responsable du programme DDRC de prendre toutes les dispositions qui s’imposent pour encadrer ces rendus qui risquent de se transformer en une équipe des criminels en mettant en place un programme réfléchi pour leur réinsertion.
Cette organisation appelle la société civile de rester vigilante et de veiller au respect des principes qui régissent le processus DDRC afin que seuls les vrais combattants « Maï Maï » soient démobilisés et non les faux pour une réinsertion durable.
A la MONUSCO d’appuyer les efforts du gouvernement congolais ainsi que ceux de ONGs pour la réussite du DDRC.
Laurent TSONGO TSOKAL
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