Éclatement des engins explosifs dans des camps des déplacés au tour de Goma : la SYLAM appelle à la vigilance

Des engins explosifs continuent à causer des dégâts humains au sein des déplacés de guerre malgré qu’ils sont dans les zones sécurisées par les forces armées de la République Démocratique du Congo et les jeunes combattants dits « Wazalendo».

Des morts et des blessés sont toujours signalés à Sake, Mubambiro en groupement Kamuronza et au quartier Mugunga dans des sites de déplacés de guerreven village de Goma. Des femmes et les enfants sont plus victimes de ces incidents.

La  Synergie de lutte anti-mines (SYLAM) qui en alerte dans la journée international de lutte anti-mine jeudi 04 avril 2024, demande à la population de n’est pas toucher des objects semblables aux effets de guerre, mais plutôt  appeler l’autorité du milieu voir même des services habiletés pour des dispositions necessaires.

« Nous disons que les mines réduisent les surfaces de travail comme les routes, les champs… Nous avons beaucoup d’engins explosifs dans le territoire de Beni, dans le Lubero, Nyiragongo, Goma, Rutshuru et Minova des zones qui connaissent aujourd’hui les affrontements entre les rebelles et l’armée congolaise. Les difficultés sont liées à la sécurité, l’accès aux routes et les financements faibles », indique Marion Ngavho coordinateur de SYLAM.

Vu que ces engins explosifs improvisés sont semblables aux objets qu’on utilisent couramment dans des maisons, la SYLAM appelle donc la population à la vigilance.

Jackson Luanda Maliyabwana