L’arbre qui produit le plus de bons fruits est toujours victime des jets des pierres dit-on. Le dimanche 21 avril 2019, nombreux internautes ont pu lire sur les réseaux sociaux des graves accusations à l’encontre du commandant de la 33ième région militaire en République Démocratique du Congo, le général-major AKILIMALI MUHINDO Charles.
Des accusations selon lesquelles cet officier de l’armée aurait été en contact avec le groupe Etat islamique, un mouvement qui revendique depuis quelques temps certaines attaques criminelles en province du Nord-Kivu.
Les intoxications qui ont circulé sur les réseaux sociaux, attestent qu’une hypothétique conversation téléphonique entre le Général Charles MUNDOS et l’Etat islamique aurait été intercepté par les services de renseignement Américain et la MONUSCO.
Quoi de mieux pour salir l’image d’une personne ? Les réseaux sociaux.
Jusqu’à preuve du contraire, cette hypothétique conversation téléphonique à est inexistante comme nous l’ont confirmé les responsables de la MONUSCO.
Ces derniers dénoncent ces actes, et condamnent formellement le comportement de certaines personnes qui se servent des réseaux sociaux pour ternir l’image des plusieurs personnalités gradées de la RDC.
En RDC justement où la mission des nations unies par le truchement de sa porte-parole, nie l’existence d’une quelconque conversation téléphonique impliquant le général Akili MUNDOS et l’Etat Islamique.
Pour la MONUSCO « des telles pratiques sont à condamner car elles ne visent qu’à interférer entre la bonne coopération qui existe entre la MONUSCO et les forces armées de la République démocratique du Congo.»
Les forces de la MUNUSCO et de l’armée congolaise étant des partenaires pour la sécurité du pays, s’attaquer directement aux animateurs est un moyen facile pour déstabiliser le pays.
Des intoxications qui affectent au plus haut niveau la personne du général MUNDOS
Choqué, dégouté, rebuté, abasourdi, la consternation de cet officier de l’armée face à ces fausses accusations contre lui laisse rapidement place à un immense chagrin. AKILI MUNDOS n’arrive pas à expliquer ce nouvel acharnement contre sa personne.
Le chef des forces armées de la RDC en province du Sud-Kivu ainsi que dans une partie de la province de Maniema, annonce cependant que les services habiletés ont diligenté des enquêtes sérieuses afin que l’auteur de cette fausse information présente devant la justice les preuves de ces allégations, faute de quoi il sera arrêté et cela servira de leçon pour tout autre individu qui s’amurera à incriminer les officiers de l’armée sur les réseaux sociaux.
Rédaction
0 Comments