En tous cas, tenant compte de ce qui se passe ces derniers temps en groupement des Basongora on dirait que, certaines églises de réveil dans la cité frontalière de Kasindi sont à l’épreuve du paradigme de l’intersectionnalité, à l’heure de la prostitution spiritualisée entre les chrétiens et leurs dirigeants animé d’un état d’âme qui s’écarte du saint esprit.
En effet, le pasteur révérend d’une église de réveil localisée dans le quartier Mwangaza à Lubiriha, a enceinté une femme mariée extrêmement intéressante par la carrure de se beauté physique. Aussitôt de retour d’une mission de travail de près de six mois, l’homme a constaté les effets néfastes de la grossesse dans le comportement inhabituel que sa chère épouse manifestée.
Après quelques jours, les rumeurs se sont éclataient sur une éventuelle relation intime entre le pasteur et cette épouse envoûtée. C’est alors que, la femme légitime du pasteur gênée par la honte et épris de colère qui résulte de la jalousie relativement à l’adultère de son mari pasteur, cette dernière a brisé le silence et s’en est allée avouée les preuves tangibles auprès du mari de la femme enceinte.
C’est de là que, l’homme déçu s’est résolu de porter plainte à l’auditorat militaire inspectorat de Kasindi. Lors de l’élaboration du procès verbal, les deux amoureux occasionnels sont passés aux aveux avant de refuser leurs allégations intimes plus tard.
Les sages de la famille de l’homme troublés par l’infidélité de sa femme, ont résolu de retirer le dossier en faveur d’un arrangement à l’amiable car dit-on, mieux vaut une mauvaise solution qu’un bon procès.
Finalement, le mouvement social de renouvellement spirituel, sans doute prétendre que la réforme fut un réveil de l’Église catholique. Mais en réalité c’est dommage de constater de Kinshasa à Beni, les dégâts de la fornication qui se déroulent à ciel ouvert.
PAUL ZAÏDI
0 Comments