RDC : Un ancien maire de Beni juge la prorogation du mandat de l’EAC « d’une véritable mise en scène d’instabilité régionale »

Les scénarios mise en place par les décideurs de l’EAC s’inscrivent systématiquement dans le caractère chronique similaire au mode de fonctionnement de la MONUSCO, malgré les massacres perpétrés par les forces négatives s’amplifient.

« Si réellement les accords pouvait résoudre un problème la RDC aurait déjà de solutions à ses multiples problèmes surtout à l’Est, puisque notre pays a ratifié plusieurs accords et traités nous avons vu le chef de l’Etat sur tous les fronts, mais la paix tarde toujours a être imposer le peuple continue à souffrir et ne sait plus à quel Saint se vouer », a indiqué à lesvolcansnews.net Maître Achille Kapanga.

« Aussi longtemps nous sommes en train de tâtonner et de ne pas comprendre le vrai motif de cette situation, nous seront comme un médecin qui est en train de soigner la malaria alors que, le malade en face de lui à une infection. On peut juste faire baisser la fièvre pendant que la maladie s’accentue », estime cet ancien maire de la ville de Beni.

Selon lui, il y a trois dimensions à considérer en toute sérénité il s’agit exactement des ;

• La communauté internationale ( le plan de la communauté internationale est connue depuis l’entrée des réfugiés rwandais en RDC on n’est dans un cycle Infernal, que nous devons tous analyser minutieusement et adopter un comportement diplomatique conséquent, afin de réduire sa potentialité de naissance).

• La région et la sous-région ( Nul n’ignore que les pays africains surtout ceux de l’Est n’ont jamais propulser notre pays en dépit de la fameuse EAC, celà s’observe par le théâtre de la zone tampon où même la population n’a pas réussi à se faire enrôler à l’instar du territoire de Rutshuru, ils accompagnent le plan de la communauté internationale).

• La a question interne (Notre pays a des problèmes structurels au niveau interne que ça soit au niveau des forces armées, dans les institutions républicaines et c’est par là que pénètre l’ennemi. Si notre lutte ultime contre les antivaleurs, aucune infiltration ne devrait avoir lieu).

À l’en croire, l’ennemi de la République Démocratique du Congo profite lorsque les acteurs de la classe politique sont dans une véritable cacophonie, pour procéder aux mécanismes d’intériorisation hostile.

Pour lui, la prorogation du mandat de l’EAC sans une évaluation significative, est une preuve tangible qui illustre un plan machiavélique contre la République Démocratique du Congo. Les forces armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) doivent être réorganiser sur le plan substantiel, afin que le commun des mortels puisse sentir le degré d’affinité de l’intégrité territoriale et de la sauvegarde de notre souveraineté.

Paul Zaïdi