L’un des warriors du gouvernement Suminwa resisicte l’exclusivité du Ministère de la Justice et Garde des Sceaux dans ses attributions de l’établissement et la délivrance de certificat de nationalité, tenant compte de la véracité des dispositions pertinentes de la loi n°04/024 du 12 Novembre 2004.
“Sur ce, il est strictement interdit aux maires, bourgoumestres, administrateurs des territoires et à toute autre autorité administrative ou politique de délivrer l’attestation de nationalité ou le tenant lieu du certificat de nationalité sous peine des poursuites judiciaires“, peut-on lire sur la note circulaire N°001 du 02 Mai 2025 signé par Constant Mutamba Tungunga Ministre de la Justice et Garde des Sceaux.
Des sources entrecoupées renseignent que certaines agences étrangères spécialisées dans le secteur de la migration, étaient en train d’effectuer les démarches en RD Congo à la place des demandeurs de l’attestation de nationalité, auprès des services compétents et vous retournaient le document par voie postale à l’assujetti.
Cependant, le coût tenait compte des frais d’établissement du document, des frais de service et de retour par le lien de la numérisation.
Alors que, la nationalité congolaise est une et exclusive. Elle ne peut être détenue concurremment avec aucune autre. La nationalité congolaise est soit d’origine, soit d’acquisition individuelle. La nationalité congolaise s’acquiert par l’effet de la naturalisation, de l’option, de l’adoption, du mariage ou de la naissance et de la résidence en République Démocratique du Congo, selon la constitution.
Au finish, celui qui ne peut pas perdre la nationalité congolaise est sans nul doute, tout individu né en République Démocratique du Congo, de parents étrangers acquiert la nationalité congolaise à sa majorité si, à cette date, il a, en RD Congo, sa résidence et s’il a eu depuis l’âge de 16 ans, sa résidence habituelle au RD Congo.
PAUL ZAÏDI