Kasindi : la société civile plaide pour l’accès à l’information par les journalistes

Lors de la méditation minutieuse dédiée à la Journée mondiale de la liberté de la presse ce samedi 3 Mai, la société civile forces vives sous noyau du groupement Basongora, a réitéré sa détermination à travailler en étroite collaboration avec les chevaliers de la plume, les coqs du micro bref, tous les professionnels des médias afin que ces artisans de du noble métier du millénaire, puissent atteindre leurs objectifs d’informer, d’éduquer, de former et de divertir le commun des mortels.

“La liberté de la presse étant l’épine dorsale de la démocratie et la colonne vertébrale de la vérité vivifiante au sein de nos communautés. Nous exhortent les tenant de la parcelle du pouvoir public et les décideurs des instances para-publiques, d’œuvrer en toute sérénité pour préserver la liberté de la Presse et l’intégrité de l’information en toute circonstance du vécu quotidien et de garantir la sécurité des journalistes dans la région”, peut-on retenir du mot de circonférence lu par le 1er Rapporteur de cette structure citoyenne.

Selon la société civile forces vives sous noyau du groupement Basongora, les journalistes exercent leurs profession dans des conditions extrêmes difficile suite à l’omniprésence de l’instabilité sécuritaire et des tentions politiques dans la région du grand Nord-Kivu d’où la nécessité au Gouvernement congolais, d’adopter une approche favorable à un climat de travail en faveur des génies de information pour le bien-être de la communauté.

Il convient de rappeler en outre que, la célébration proprement dite de la journée mondiale de la liberté de la presse aura bel et bien lieu le dimanche 18 Mai prochain, selon M. Fred Mastaki Président de l’Amical des journalistes du groupement Basongora (AJB). Ce haut cadre de cette organisation syndicale des journalistes a évoqué notamment les problèmes liés à certains soucis  du comité de l’organisation.

PAUL ZAÏDI