C’est une scène bouleversante qui s’est produite dans un hôpital de la ville de Goma ce week-end. Quelques heures seulement avant de rendre l’âme, une femme identifiée sous le nom emprunté de Madame Marguerite a décidé de se confesser à son mari, une vérité déchirante : leur premier fils sur 6 enfants n’était pas de lui, mais du voisin avec lequel ils partagent les limites de parcelle.
Selon les témoignages recueillis par Les Volcans News, Marguerite, en agonie dans un lit d’un hôpital de la capitale provinciale du Nord-Kivu, aurait été visitée par un pasteur d’une église de réveil bien connue dans la ville.
Ce dernier l’aurait exhortée à faire une vraie pénitence pour « hériter le Royaume de Dieu ».
« Le pasteur lui a dit que le salut passait par la vérité », confie un infirmier ayant requis l’anonymat.
« Elle l’a écouté, et a demandé que tous les visiteurs sortent, sauf son mari. »
Dans la chambre transformée en confessionnal, Marguerite aurait alors révélé à son mari qu’elle avait été infidèle dès les débuts de leur mariage, et que leur premier fils était le fruit d’une liaison avec leur voisin un homme considéré jusque-là comme un ami proche de la famille.
« L’homme est tombé évanoui dès qu’il a entendu ces paroles », a raconté notre source.« Et Marguerite, juste après sa confession, a rendu l’âme. »
Toujours selon nos sources, le mari a été ranimé plusieurs heures plus tard, mais sa femme était déjà morte. Aucune information n’a encore filtré sur l’identité du pasteur qui a inspiré cette confession ultime.
Beaucoup saluent le courage de la défunte, mais d’autres pointent du doigt une démarche spirituelle aux conséquences mortelles.
L’affaire crée un débat sur la place de la vérité et du pardon à l’approche de la mort.
« Peut-on tout dire avant de mourir, même au risque de briser une vie ? » s’interroge un habitant.
Pour l’instant, le silence du mari reste total, tandis que le voisin présumé n’est pas encore informé de l’affaire.
La rédaction