Le refrain de la cohésion nationale possède une partition inclusive et s’attelle désormais sur une responsabilité délibérée du leadership agissant de la crème intellectuelle congolaise. Cet état de chose implique la flexibilité du gouvernement congolais et l’ensemble de ses partenaires primitifs.
L’accélération du processus de pacification dans la région des grands lacs intéresse les clergés catholico-protestants. Cette structure religieuse a procédé au lancement depuis le 3 février 2025 la procession du pacte social destinée à la paix et le Bien-Vivre-Ensemble, dans la logique ponctuée de mettre en oeuvre les circuits du rétablissement de la paix gage de développement et étreindre le feu allumé par les belligérants dans la partie orientale de la République Démocratique du Congo.
Cette prise de position résulte d’un engagement idéal de la commission conjointe de la Conférence Épiscopale Nationale du Congo et de l’Église du Christ au Congo (CENCO-ECC), en marge d’inscrire fidèlement les parties prenantes à la crise sécuritaire qui se vit à l’Est de la RD Congo, au souci permanent du bien-être collectif et de procéder à la pérennisation d’un dialogue ponctuel en cas d’éventuelles difficultés liées à l’exécution des agendas contenants les accords bilatéraux et les traités internationaux.
Après avoir été en contact de haut risque avec le mouvement politico-militaire du M23 et de l’AFC à Goma la semaine dernière et au terme d’une mission diplomatique au Kenya, les hommes de Dieu ont décidé à l’unanimité de clôturer ce safari ce jeudi 20 février de l’année en cours avec un culte œcuménique à la Cathédrale Saint Pierre et Paul de Lubumbashi (Capitale provinciale du Haut-Katanga).
Ces émissaires de la paix ont recueilli plusieurs cahiers de charges du commun des mortels revêtus d’une proposion insistante pour l’organisation d’un dialogue entre le régime de Kinshasa et ceux qui occupent actuellement certaines entités dans les provinces du Nord-Kivu et Sud-Kivu.
PAUL ZAÏDI
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