Science : le riz contribue au réchauffement climatique

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Tenant compte des révélations systématiquement en équation différentielle contenues dans une publication scientifique du site « Challenges des économistes ». Il se révèle que le riz contribue au réchauffement climatique.

En privant les sols d’oxygène, la culture en rizière favorise le développement de bactéries émettrices de méthane. Alors que, dans le secteur alimentaire le riz est le plus gros émetteur de gaz à effet de serre après la viande de bœuf. Son empreinte carbone est comparable à celle de l’aviation. Bref, manger du riz est mauvais pour le climat mais aussi, semble-t-il, pour la santé.

Il est révélé que, le riz est la principale nourriture de plus de la moitié de l’humanité. Mais les rendements ne progressent pas. Pire, la culture de cette céréale, qui émet du méthane, contribue au réchauffement climatique et à l’explosion du diabète. Son empreinte carbone est similaire à celle de l’aviation. D’où l’urgence de cultiver d’autres céréales s’impose.

Pour le savoir, les scientifiques du Cirad ont simulé le climat que nous devrions connaitre d’ici 30 ans dans une serre à la pointe de la technologie. Résultat : selon la variété de riz, la photosynthèse et la production sont plus ou moins boostées par une augmentation de CO2 atmosphérique.

La morphologie, notamment au travers du rapport feuille/panicule, pourrait déterminer la capacité de la plante à mieux profiter d’une hausse de CO2.

Des recherches précieuses pour orienter les programmes de sélection variétale de demain, à découvrir en vidéo alors que le sommet Action Climat de l’ONU démarre lundi.

L’urbanisation et l’industrialisation ont raréfié la main d’œuvre et les terres agricoles. L’abus de pesticides, d’engrais et d’irrigation ont empoisonné et épuisé les sols et les nappes phréatiques.

Le changement climatique est venu s’ajouter à d’autres problèmes existants pouvant agir de cause à effet : l’insécurité, l’impraticabilité des routes de desserte agricole, la pauvreté, la croissance démographique galopante entrainant ainsi une compétition d’accès aux ressources, ainsi que l’urbanisation rapide accompagnée de la déforestation. Par ailleurs, la pandémie de coronavirus.

Le changement climatique qui résulte de l’augmentation des gaz à effet de serre et donc de la température planétaire constitue une menace pour l’agriculture familiale. Car celle-ci dépend directement des facteurs climatiques, notamment du rayonnement du soleil, de la pluie, de la température et de la teneur en gaz carbonique. Ce changement est perçu par des agriculteurs à travers divers évènements susceptibles de produire des effets négatifs sur les exploitations

PAUL ZAÏDI

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