Selon le Bureau de coordination des affaires humanitaires (OCHA), depuis le début de juillet 2024, la situation sécuritaire dans le territoire de Rutshuru a connu un calme relatif, malgré quelques incidents armés de faible intensité. Ce répit dans les tensions a permis aux opérations humanitaires de reprendre progressivement, notamment dans la zone de santé de Kibirizi.
Dans son rapport publié le 14 août 2024, OCHA révèle que cinq organisations humanitaires ont recommencé leurs activités après une suspension due à la recrudescence des violences entre juin et début juillet. Ce retour à une certaine normalité est crucial pour les populations affectées.
Le rapport indique également qu’entre mars et juillet derniers, environ 383 000 personnes ont regagné leurs villages d’origine, notamment Kibirizi, Birambizo et Bambo, dans le territoire de Rutshuru au Nord-Kivu. Ces déplacés avaient trouvé refuge dans les zones de Nyanzale, Kikuku et Kyahala dans la zone de Kibirizi, ainsi que dans les territoires voisins de Lubero et Walikale.
Malgré ce retour progressif, de nombreux déplacés n’ont pas encore reçu l’assistance nécessaire, alors que les besoins en matière de santé, de nourriture, d’abris et d’accès à l’eau demeurent urgents. OCHA souligne que la situation reste préoccupante et que des efforts accrus sont nécessaires pour répondre aux besoins fondamentaux de ces populations vulnérables.
Selon le Bureau de coordination des affaires humanitaires (OCHA), depuis le début de juillet 2024, la situation sécuritaire dans le territoire de Rutshuru a connu un calme relatif, malgré quelques incidents armés de faible intensité. Ce répit dans les tensions a permis aux opérations humanitaires de reprendre progressivement, notamment dans la zone de santé de Kibirizi.
Dans son rapport publié le 14 août 2024, OCHA révèle que cinq organisations humanitaires ont recommencé leurs activités après une suspension due à la recrudescence des violences entre juin et début juillet. Ce retour à une certaine normalité est crucial pour les populations affectées.
Le rapport indique également qu’entre mars et juillet derniers, environ 383 000 personnes ont regagné leurs villages d’origine, notamment Kibirizi, Birambizo et Bambo, dans le territoire de Rutshuru au Nord-Kivu. Ces déplacés avaient trouvé refuge dans les zones de Nyanzale, Kikuku et Kyahala dans la zone de Kibirizi, ainsi que dans les territoires voisins de Lubero et Walikale.
Malgré ce retour progressif, de nombreux déplacés n’ont pas encore reçu l’assistance nécessaire, alors que les besoins en matière de santé, de nourriture, d’abris et d’accès à l’eau demeurent urgents. OCHA souligne que la situation reste préoccupante et que des efforts accrus sont nécessaires pour répondre aux besoins fondamentaux de ces populations vulnérables.
La rédaction
0 Comments