La soirée du lundi 12 août, s’est tragiquement terminée sur l’avenue Hewa Bora 2, dans le quartier Mugunga de la commune de Karisimbi, en ville de Goma.
Un jeune homme de 25 ans a été abattu à 19 heures alors qu’il rentrait chez lui. La victime, dont le nom n’a pas été divulgué, a été touchée par des balles tirées par des individus armés, plongeant la communauté locale dans l’effroi.
La société civile de Goma a rapidement accusé l’unité militaire connue sous le nom de Satan 2 d’être responsable de ce meurtre.
Selon Christian Kalamo, un porte-parole de la société civile, « Les militaires de cette unité entrent dans les bistrots avec les armes et intimident qui ils veulent, jusqu’à tirer en désordre. »
Ces accusations soulignent une inquiétante escalade de la violence et une crise de confiance croissante envers les forces de sécurité.
Goma, déjà ébranlée par une insécurité croissante, voit la situation se détériorer jour après jour. Les habitants constatent avec désespoir que chaque jour apporte son lot de violence et d’insécurité. Face à cette spirale de violence, des appels à une journée sans activité se multiplient dans la ville, exprimant le besoin urgent de rétablir la paix et la sécurité.
La communauté de Goma, de plus en plus perturbée par ces événements tragiques, appelle à une intervention rapide des autorités compétentes pour mettre fin à cette situation désespérée. La ville attend avec impatience des mesures concrètes pour restaurer l’ordre et la tranquillité.
La rédaction.
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