Lorsque le nombre de rongeurs est élevé, il peut être nécessaire d’utiliser des appâts toxiques (rodonticides) pour en venir à bout donc, se débarrasser. En effet, les appâts empoisonnés sont très dangereux. Cependant, il existe trois méthodes principales ; le piégeage, les appâts rodonticides et les traitements par exclusion.
Toutefois, chacun présente des avantages et des inconvénients, avec des points clés à respecter pour maximiser leur efficacité. De toute les façons il faut mieux croiser les méthodes pour maximiser les chances de satisfaction. Peut-on retenir de l’allocution livrée à la presse de Kasindi l’après-midi de ce vendredi 8 mars 2024.
« C’est mieux d’utiliser le piégeage puisque avec les appâts toxiques il y a le risque d’être mal malaise au sein de la maison puisque, le rat peut mourir dans un endroit obscur et commencer directement à dégager des odeurs nauséabondes. Et aussi, il y a le risque de susceptibiliser les cas d’intoxication chimique car les enfants peuvent manipuler abusivement les plats ou les objets sur lesquels où, l’on a exposé les produits contre les rats ». A indiqué le Biologiste ougandais Mbusa Kayeghoka à lesvolcansnews.net .
Après plusieurs dégâts enregistrés dans le processus de combattre les rats avec du poison, le biologiste ougandais Mbusa Kayeghoka suggère aux responsables de familles d’utiliser le piégeage artisanal (pièges fabriqués traditionnellement à l’aide d’une portion de bois et quelques fils électriques).
En effet, le poison possède d’énormes conséquences du fait qu’il se répand avec un risque considérable d’exposer les enfants ou les animaux domestiques de l’atteindre.
Au finish selon plusieurs études scientifiques, les rongeurs vilipendés ne sont pas seulement appréciés des amis des animaux. En plus de réduire la quantité de déchets, ils sont utilisés pour détecter des maladies, désamorcer des mines anti-personnel ou mener des enquêtes policières dans certains pays hautement développés.
Le rôle de ces animaux est aussi précieux dans certaines zones à risques. Au Cambodge, en Angola ou au Mozambique, une ONG belge a recours à des rats pour repérer les mines anti-personnel. En échange de quelques morceaux de banane, ils peuvent inspecter 200 mètres carrés de terrain en seulement 20 minutes, expliquait en 2015 l’organisation Apopo au journal The Guardian.
Paul Zaïdi
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