« Un frère et une soeur auraient décidé d’avoir un enfant à Kasindi… Jusqu’à présent le certificat de naissance de l’enfant est indisponible peut-être pour ne pas tomber dans le fait infractionnel… Plusieurs personnes insistent qu’il s’agit d’un inceste alors que les preuves tangibles ne sont pas totalement réunies », a affirmé sous anonymat un homme habitant le quartier où la tragédie est soupçonnée.
Selon plusieurs sources proches d’une famille modeste de la localité de Lubiriha dont nous nous privons le droit de citer le nom pour des raisons déontologiques, un garçon a développé une relation intimement amoureuse avec une fille (bien qu’étant majeurs mais, tous d’une même famille biologique) depuis le début du dernier trimestre de l’année 2022 qui a résulté à la naissance d’un enfant.
Pour sauver l’honneur de sa famille au sein de la communauté locale, le géniteur de ces enfants rejette en bloc cette version et met quiconque au défi de le persuader par un test génétique, qui révélera que le père du nouveau-né a un lien de parenté avec sa fille.
Dans la cité frontalière de Kasindi en secteur de Ruwenzori dans le territoire de Beni, il y a une forme de la sodomie qui s’y investit progressivement en dépit d’énormes efforts fournis par les organisations non gouvernementales, qui oeuvrent pour la lutte contre les violences basées sur le genre.
Pendant ce temps, une enquête est encore en cours. Nous y reviendrons un peu plus tard pour plus de détails.
La rédaction
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