C’est vrai qu’il mentionné clairement que, les chocs des adversaires ne passent inaperçus dans la constellation politique toutefois, le besoin imminent de prévenir les effets néfastes de ce circuit réactionnel s’avère très bénéfique pour le bien-être de tous.
Une hypothèse soutenue par Docteur Yan Clinicien aux pavillons des urgences de la Clinique Universitaire de Lubumbashi dans l’espace grand Katanga a révélé sur sa plateforme des réseaux sociaux que, « depuis le lancement de la campagne électorale 7 malades sur 10 sont consultées pour l’hypertension arterielle il s’agit surtout des acteurs politiques et dont la plupart sont ambitieux au compte des scrutins législatifs et présidentiels du 20 décembre 2023.
Ce professionnel de santé présente quelques propositions pour lutter contre les violences faites aux candidats. Parmi elles, une prise en charge intégrale du soutien psychologique, y compris pour les proches car, explique Dr Yann « on se rend bien compte aujourd’hui, les pressions ne sont pas exercées que sur l’élu. Les membres de l’équipe de campagne sont souvent en première ligne ».
En cas de d’énormes dérapages si une prise en charge médicale sur le plan psychologique est largement négligée, le pays risque d’amplifier le nombre de personnes ayant de troubles mentaux et moins diagnostiqués. Cette situation peut toutefois s’observer lors de la proclamation des résultats provisoires par la commission électorale nationale indépendante (CENI).
Les victoires surprises et les échecs inattendus s’inscrivent communément dans la logistique d’affection de l’allure comportementale et donc, conscientiser au préalable par de techniques appropriées les parties prenantes au cycle électoral en République Démocratique du Congo est une nécessité inévitable.
Paul Zaïdi
Élections 2023 : la prise en charge psychologique des candidats s’impose
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