La génération positive, un groupe de pression œuvrant ici en ville de Goma déplore de constater que certains candidats députés postulent encore à deux niveaux comme par le passé.
Pour Jimmy Nziali, leader de ce mouvement, aucune personne ne peut prouver que l’on peut en même temps être député national dans l’assemblée nationale a Kinshasa et être député provincial dans l’assemblée provinciale à Goma. Cependant il se rappelle des élus de la législature finissante qui ont laissé leurs suppléants aux assemblées provinciales.
Nombreux étant des membres de famille qui n’incarnaient pas l’idéologie, voire le profil de leurs titulaires qui ont jugé mieux de siéger à l’assemblée nationale.
« Il y a Nzangi Butondo qui était élu député provincial alors qu’il était déjà élu député national a Butembo il q choisi d’être député national et par conséquent il nous a laissé un suppléant à Goma, un monsieur que personne ne connait le nom jusqu’aujourd’hui et qui n’était même pas à la hauteur de défendre la ville de Goma.
Hubert Furuguta lorsqu’il était élu dans la même ville de Goma comme député national et en même temps député provincial, il avait choisi d’aller à Kinshasa, le siège provincial, il a laissé à sa suppléante qui était sa petite sœur biologique », indique-t-il.
Il faut dire que les réactions sont nombreuses depuis que la CENI a commencé à publier la liste des candidats devant ses bureaux. Il se constate que plusieurs candidats ont aligné leurs femmes et enfants comme premiers et deuxièmes suppléants.
Love Katsongo
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