Partageant presque la même culture les citoyens congolais et ougandais de la frontière congolo-ougandaise de Kasindi-Custom et ses environs de part et d’autre vivent traditionnellement en unanimité sur certaines indiscrétions qui cadrent sensiblement avec les souverainetés de ces deux pays voisins depuis aussi vieux que le monde.
Il s’agit surtout des activités socio-économiques et politiques pendant les périodes préélectorales où crtains acteurs politiques préconisent l’amplification de pourcentages des voix électorales et par conséquent ces derniers utiliseraient la ruse de faciliter l’enrôlement des électeurs fautifs.
Alors comment stopper cette aventure ? Élément de réponse avec maître Élie Vahumawa :
« La nationalité congolaise donne à tous les congolais le droit d’enrôlement et de vote maintenant pour éviter à ce que les ougandais ne puissent pas prendre nos cartes d’électeurs, la CENI a mis en place un mécanisme. Après chaque opération d’enrôlement dans un bureau chaque jour, il y a des listes que les agents électoraux vont commencer à afficher »…
Il a tout de même ajouté que ;
« Maintenant il nous appartient nous congolais, les chefs d’entités de passer pour vérifier ces listes là qui sont affichées si toute ces personnes sont réellement des sujets congolais bien connus. Si malheureusement ce sont des étrangers ou soit des ougandais, là il suffit juste d’alerter la CENI pour ces données soit supprimées dans le système. Et là vous allez informer les agents de sécurité pour qu’on cherche cette personne et l’arrêter ».
A indiqué maître Élie Vahumawa à lesvolcansnews.net
Pendant ce temps, dans les centres d’identification et d’enrôlement des électeurs au niveau de la cité frontalière de Kasindi, les éléments de la police nationale congolaise (PNC) et de l’armée loyaliste (FARDC) sont disposés à sécuriser les opérations en cours d’exécution.
PAUL ZAÏDI
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