Pour s’assurer que la mauvaise prise en charge médicale et les manoeuvres de corruption ne constituent pas une menace pour les survivants de l’attentat à la bombe survenue à l’église 8 ème CEPAC de Lubiriha, en date de dimanche 15 janvier 2023.
Le chef du secteur de Ruwenzori Boozi Sindiwako Bin Vuhaka exerce de temps en temps une pression sur les centres hospitaliers ayant admis les patients, pour qu’il prenne des initiatives afin d’éviter les actes d’anti-valeurs (surfacturation des produits pharmaceutiques et des services rendus) ou soit de négligence total face à ces victimes de l’attaque terroriste.
En effet, sur instruction du Gouverneur militaire du Nord-Kivu le Lieutenant-Général Constant Ndima Kongba, certains malades tenant compte de la gravité vitale sont internés au centre de santé de référence de Lubiriha, l’Hôpital général de Beni et d’autres à l’Hôpital général de référence de Goma.
Il convient de signaler en outre que, certains leaders de la cité frontalière de Kasindi qui s’étaient aventurier de falsifier les factures des ordonnances médicales (de 75 jusqu’à 1400 $) dans l’une des structures sanitaires de la place, étaient vite démantelés par le chef du secteur de Ruwenzori Boozi Sindiwako Bin Vuhaka qui estime que, la souffrance des innocents citoyens congolais ne doit nullement faute objet de l’enrichissement illicite d’une bande des troubadours.
Pendant ce temps, aucun décès n’est enregistré parmi ces blessés qui sont prise en charge médicale par le gouvernement central de la République Démocratique du Congo.
PAUL ZAÏDI
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