Étant donné que la partie orientale de la République Démocratique du Congo est caractérisée par une grande ambiguïté conceptuelle sur le plan sécuritaire, sur fond d’un paysage de la prolifération substantielle des groupes armés locaux et étrangers et également, par l’ubiquité des phénomènes liés à l’extrême violation des droits humains.
Et face à l’escalade du terrorisme dans les zones opérationnelles sous état de siège concernant les provinces du Nord-Kivu et de l’Ituri où, plusieurs agglomérations urbaines tout comme rurales sont prise en otages par les forces négatives, occasionnant ainsi les déplacements massifs de la population civile vers les endroits jugés sécurisés.
Et tenant compte de l’exercice démocratique qui pointe à l’horizon, les fonctionnalités des élections se révèlent hypothétique à l’Est de la République Démocratique du Congo. C’est dans cette optique que ;
Dans une analyse systématique et rigoureuse de cette situation peu vertigineuse, le politologue congolais et diplômé des hautes études des stratégies de guerre, Jonas Kasimba finalement s’inscrit sur le droit chemin à maximiser les opportunités de la conscience collective du peuple congolais.
Dans la perspective logique de sauver le pays contre l’agression des groupes délibérément soutenus d’une manière ou d’une autre, par les puissances occidentales et quelques pays voisins dont notamment ; le régime de Kigali, selon les rapports de Kinshasa.
« La situation de guerre actuellement à Kitchanga et ailleurs est un mauvais signal pour la tenue des bonnes élections. Le silence des forces de l’EAC et de la communauté internationale frise de la complicité à n’en point douter. Débout congolais et sauvons le pays », il s’agit là d’un répertoire des solutions adaptées et proposées par politologue congolais Jonas Kasimba, dans sa récente sortie médiatique.
Au finish, le notable Jonas Kasimba interpelle ses compatriotes sur les approches d’engagement citoyen face aux problèmes qui rongent à grande échelle la nation congolaise toute entière. Et dont, les civils sont les principales victimes ce qui rend possible, l’équation de la perturbation quasi-totale des élections si rien ne sera fait dans l’immédiat.
Toutefois, l’absence de progrès dans la pacification de l’Est de la RDC résulte à la fois de la répétition des fausses solutions par les autorités congolaises et de la lassitude silencieuse mais profonde des acteurs internationaux.
PAUL ZAÏDI
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