Il s’observe des enfants dont l’âge varie entre huit et treize ans qui s’occupent d’autres activités qu’étudier depuis le début de l’année scolaire 2022-2023 à Minova, une cité du groupement de Buzi en territoire Kalehe au Sud-Kivu.
Selon l’un des parents d’enfants hors le système éducatif qui a gardé l’anonymat, des enfants n’étudient pas parce que leurs parents ont difficile à trouver des fournitures scolaires.
«Quelle que soit la gratuité de l’enseignant de base prôné par le chef de l’État congolais, nous avons difficile à trouver les fournitures scolaires pour que nos enfants puissent étudier.
Ces enfants paraissent traumatisé, nous prions ainsi à l’organisation INUKA asbl qui s’occupe de la prise en charge des enfants vulnérables de nous aider comme elle fait pour d’autres parents vulnérables. Nous demandons également au ministère de tutelle de s’en occuper car ces enfants sont un danger pour l’avenir de notre pays», a-t-il déclaré.
De son côté, le capitaine Floribert Lipanda, chargé de la protection d’enfants au bureau de la police nationale congolaise sise à Minova, a dit rejeter ce genre d’actes.
«La place de l’enfant c’est à l’école, le parent de l’enfant qui sera pris en train de faire autres activités qu’étudier avant, ou après la fin des cours subira la rigueur de la loi», a déclaré le capitaine Floribert Lipanda.
Il y a de cela quelques semaines l’organisation INUKA ASBL a formé certains parents d’élèves vulnérables sur la prise en charge des enfants victimes de traumatisme dans la cité voisine de Bweremana (Nord-Kivu) tout en assurant un accompagnement de certains parents vulnérables de Shasha, Kituva, Bweremana (Masisi, Nord-Kivu) et Minova (au Sud-Kivu) a déclaré Madame Emmanuella, responsable du programme d’appui psychosocial chez INUKA. Inuka, travailleuse à l’orga
Bertin Byamungu depuis Kalehe
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