Au terme du troisième mois de l’année ayant 31 jours au cours duquel plusieurs activités ont été organisées pour fêter les victoires et les acquis des femmes et faire entendre leurs revendications pour améliorer leur situation dans différents domaines.
Avec un thème idéal de l’organisation des nations unies “L’égalité des sexes aujourd’hui pour un avenir durable”, madame Gentille Kasivita exhorte toutes les femmes a extérioriser la passion féminine, envers les personnes qui vivent dans une extrême vulnérabilité terrifiante suites aux violences sous toutes les formes possibles en occurence, le vécu quotidien de l’Est de la RDC.
« Les problèmes économiques, sociaux et politiques les plus pressants du monde ne peuvent être résolus sans la pleine participation des femmes, même au-delà du mois de mars », a-t-elle indiqué à lesvolcansnews.net
À en croire l’épouse du Gouverneur civil du Nord-Kivu en sursis, les femmes sont régulièrement sujettes à la discrimination, à l’intimidation et aux abus verbaux et physiques. Quand elles évoquent ces abus, leurs revendications sont souvent taxées d’exagérations ou d’élucubrations.
Ainsi pour rappel, au commencement de l’histoire, le 8mars est institué en 1977 par le système des Nations-unies pour marquer son soutien à la lutte portée par les femmes pour l’instauration effective de l’égalité sociale.
Pour rappel, la gent féminine militait alors pour l’élimination de toutes les formes de discriminations dans les conditions de vie et de représentativité, l’exercice des droits civiques, notamment le droit de vote, et l’interprétation puis l’application du droit au travail.
En République Démocratique du Congo, cette journée a été célébrée sous le thème: “l’autonomisation des femmes et filles dans le contexte de lutte contre le changement climatique et la réduction des risques des catastrophes”.
Au finish, la RDC s’est engagé à promouvoir l’égalité et à remédier aux inégalités, telles que la discrimination sociale, économique, morale et judiciaire.
En réalité il y a une certaine complémentarité entre l’homme et la femme congolaise. « Le rapport supériorité-infériorité n’est pas à mon sens ce qui sous-tend la relation homme-femme, mais plutôt un attachement au strict respect des responsabilités de la femme, mais aussi de l’homme » a-t-elle renchérit.
Paul Zaïdi
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