M. Toms Kirako, chef adjoint du quartier Kyeshero situé dans la commune de Goma, a appelé mercredi ses administrés à bien vouloir éviter d’accéder aux milieux supposés dangereux du Lac Kivu de peur d’y laisser la peau.
Cet appel pressant reste consécutif, à la découverte mardi matin d’un corps sans vie flottant sur les eaux du lac Kivu dont les circonstances de la mort serait l’asphyxie due à une entrée inattendue en contact avec le gaz méthane.
Selon lui, l’infortuné dont le nom n’a pas été révélé âgé de 17, serait élève qui voulait bien se baigner dans le lac tout en ignorant que l’endroit dans lequel il voulait le faire était presque inaccessible par les populations de la contrée qui en savent les réalités.
Par ignorance, a-t-il indiqué, il a tenté de s’y laver lors qu’il sera surpris par le gaz en pleine expansion qui du coup l’a conduit à la mort. Ce sera après être tué que la vague le déplacera de là vers le lieu accessible où le corps aura la possibilité d’être retiré des eaux pour les préparatifs de son inhumation.
Cette autorité de base, qui a appelé d’abord ses administrés à éviter d’accéder à ces lieux du lac supposés dangereux, les a également exhortés à en informer certains visiteurs et passants afin d’épargner les vies humaines dans cette partie de la ville de Goma.
Il a cependant promis de mener plus d’efforts pour solliciter à ses chefs hiérarchiques de bien vouloir mener des études afin de voir comment identifier les différentes parties supposées offensives de ce lac et y placer les panneaux de signalisation comme par le passé afin de mettre a l’abri la vie de gens moins informés. Car, a-t-il conclu, la majorité des adolescents et enfants aiment beaucoup fréquenter le lac qui présente pour la plupart un bon endroit de se distraire.
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