Trois (3)ans après la mort de la servente du Christ Thérèse Kapangala à Kinshasa, le président national de l’association congolaise pour l’accès à la justice « ACAJ », maître Georges Kapiamba exige que la justice puisse s’impliquer profondément dans cette affaire épineuse oubliée jusqu’à présent.
D’où la nécessité d’un procès se révèle impérative en guise d’élucider les zones d’ombres quant au décès tragique de la jeune Thérèse Kapangala, aspirante à la vie religieuse ignoblement tuée en 2018 pendant d’une manifestation pacifique initiée par le comité Laïc de coordination (CLC) contre le glissement du mandant présidentiel préconisé à l’époque par le régime de Joseph Kabila Kabange.
Cet appel lancé par le coordonnateur de l’ACAJ intervient alors qu’il y a peu la justice s’est prononcée dans le procès sur le meurtre de Rossy Tshimanga, activiste tué dans le même contexte.
Le commissaire supérieur adjoint, Carine Lokeso a écopé de « la servitude pénale à perpétuité assortie de 10 ans de sûreté incompressible pour meurtre de Rossy Mukendi.
Paul Zaïdi
0 Comments