Réagissant au communiqué publié au courant de la semaine par l’AFDC-A et à tout ce qui se raconte dans les réseaux sociaux au sujet de la recente sortie médiatique à travers l’émission BOSOLO NA POLITIK de son président National, le Pof Prince Willy Mishiki, le parti politique Union Nationale des Nationalistes « UNANA » dément les propos faussement attribués à son président national.
Selon les informations véhivulées dans les reseaux sociaux, le Prof Prince Willy Mishiki Buhini aurait mis en cause l’élection du président de la République, Félix Tshisekedi, accusation rejetée par la Direction Politique Nationale de l’UNANA à l’issue d’une réunion qu’elle a tenue à Kinshasa. Dans un communiqué publié par l’UNANA le vendredi, 13 novembre, la direction politique de ce parti politique précise que les propos de son président ont été dénaturés pour fragiliser l’Alliance des Forces Démocratiques du Congo et Alliés (AFDC-A), une plateforme politique dans laquelle l’UNANA a récemment adhéré.
« Le président National de l’UNANA n’a jamais remis en cause l’élection du président Tshisekedi Tshilombo à la magistrature suprême. Il a plutôt parlé à l’Emission Bosolo na Politik de passer l’éponge sur les contentieux électoraux de 2018 et de tourner le regard vers l’avenir », peut-on lire dans ce communiqué.
A ce communiqué de poursuivre que certaines forces obscures distillent des fausses informations pour fragiliser l’AFDC-A et son autorité morale, Modeste Bahati en se servant de l’offensive médiatique de Prince Willy Mishiki faute d’arguments.
Dans ce même document, l’UNANA rappelle que dans cette émmision, le Prof Willy Mishiki était invité comme président de son parti et non comme communicateur de lAFDC-A.
« L’UNANA réaffirme son appartenance à l’AFDC-A et à l’Union sacrée de la nation en vue d’accompagner le chef de l’État Félix Tshisekedi dans les efforts de l’amélioration du bien-être du peuple congolais, » poursuit ce communiqué.
L’UNANA annonce, à travers le même document, l’organisation des manifestions de soutien à l’Union sacrée et aux consultations sur l’ensemble du territoire national pour barrer la route à tous ceux qu’elle qualifie de « traitres de la République. »
Illar Meztiller
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