FARDC, nos héros au quotidien (Lettre de soutien)

Chers soldats,

A vous qui veillez sur nous de différentes manières, Bonne journée ! ! !

Vous êtes les dignes descendants de nos poilus, et de tous ces soldats qui, par vocation par fidélité, par courage ont tout donné, ont tout supporté, pour que nous soyons de gré libres et espérer au rétablissement total de la sécurité au vécu quotidien, avec nos familles dans notre pays.

Pardon pour ceux qui oublient, pour ceux qui ne savent pas.

A vous d’abord, à vos familles qui vous entourent, vous suivent et vous encouragent, un merci du fond du coeur pour cet inaltérable engagement, pour l’humilité et la bravoure, pour cette grande famille patriotique que vous êtes.

Malgré que vous soyez loin de vos proches, je tiens à vous témoigner mes sentiment de gratitude, je sais que ce n’est pas facile tous les jours, vous êtes des héros, nos héros au quotidien ! ! !

Vous êtes des pères, des mères, des hommes, des femmes, vous avez beaucoup d’audace ! ! ! Bon courage, je suis fier de vous, nos Forces Armées de la République Démocratique du Congo ! ! !

Cher soldat, vous qui donnez votre vie précieuse pour la République Démocratique du Congo, loin de votre famille, loin de toutes les choses que vous aimez, courageux soldat, passez une bonne journée auprès de vos camarades et soyez assurés qu’on ne vous oublie pas à Beni ville et ses environs, notre gratitude et notre admiration sont à la hauteur de ce que vous donnez pour notre pays.

Merci Soldat ! ! ! Bonne journée ! ! !
Je vous embrasse ! ! !

Je tiens à vous témoigner toute ma gratitude, mon soutien et mon respect pour ne pas dire mon admiration. Où que vous soyez, sur l’ensemble du territoire national. Quelle que soit votre tâche ou mission. Quel que soit votre grade. Je vous remercie de votre sacrifice, de votre abnégation, de votre sens du devoir. Messieurs, mesdames soyez fiers (res) de ce que vous êtes, de ce que vous faites et de ce que vous représentez.

Sachez que dans de nombreux foyers au Nord-Kivu et en Ituri, il y a des citoyens qui pensent à vous.

PAUL ZAIDI