Un bol (une mesurette) de 600gr du sucre et du sel marin et une bouteille d’huile de palme de 75 cl qui se vendaient respectivement, il y a deux semaines, à 900 FC, 500 FC et 300 FC sur le marché urbain de Goma, au Nord-Kivu se négocie actuellement à 1000 FC, 600 FC et 400 FC.
Cette instabilité manifeste des prix des denrées alimentaires de première nécessité est, selon les milieux avisés, due à l’irrégularité observée dans l’approvisionnement de la ville de Goma de certaines marchandises et à la rupture des stocks.
Les consommateurs de la ville sont désemparés par ce phénomène aux conséquences néfastes multiples.
L’on craint que la stagnation de cette situation soit intimement liée aussi aux difficultés qu’éprouvent les chauffeurs usagers de la route.
La rédaction
