Les chercheurs allemands de l’institut Max-Planck de Leipzug ont trouvé que le côté «tête de mule » de certaines personnes serait dû à une mutation génétique et concernerait 30% de la population rapporte l’hebdomadaire » l’expresse ».
Selon la source, cette catégorie des populations serait soumise à ce que ces chercheurs appellent la « Mitation A1» qui est un mécanisme induit lorsque le niveau dotamine ( non nerro trans,etten , stimulat du système nerveux central) baissent et boudent certains récepteurs cérébraux explique « l’expresse »
La Rédaction
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