Goma: Congo check apporte un plus aux chevaliers de la plume et aux gestionnaires des groupes whatsApp et Facebook

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Ce lundi 11 novembre , certains journalistes et gestionnaires des groupes sur réseaux sociaux formés par Congo check sur le fackching sur Ebola.

C’est une deuxième série des formations que viennent d’être bénéficiaires, certains journalistes et gestionnaires des groupes WhatsApp et Facebook de la part de ce média en ligne qui lutte contre les infox, après d’autres formations du genre tenues à KINSHASA, qui, elle ont réunies les leaders de la société civile. Réunis autour d’une table ronde de la salle de RUSINA HOTEL, durant un jour, ces familieux du monde numérique, ont été outillés des notions de base pouvant leur aider à détecter des fausses informations ou rumeurs qui peuvent fuser des réseaux sociaux surtout en cette période où l’épidémie d’Ebola fait parler d’elle dans les provinces du Nord-kivu et de l’Ituri

 » Cette formation est la deuxième de notre programme factchek Ebola que nous avons lancé en mars dernier et qui vise à lutter contre la désinformation au sujet de l’épidémie d’ebola parce qu’on a constaté que des fausses informations circulaient de plus en plus au sujet de l’épidémie d’ebola et cela compliquait la tâche aux équipes de riposte, et cela a cause la persistance de la maladie » , a révélé Samy Mupfuni, coordonnateur de CONGO CHECK en Rd.Congo.

Des techniques de vérifications des astuces qui doivent se caractériser d’abord par le principe de « douter de tout » avant de croire à une information ou de la partager vue qu’actuellement avec les réseaux sociaux, le rôle d’informer n’est plus l’apanage du journaliste.
Pour arriver à se rassurer que l’information est réelle, les journalistes et gestionnaires des groupes WhatsApp et Facebook, ont été recommandés de ne pas croire aux sources secondaires mais plutôt d’aller toujours vers les sources primaires mais aussi vérifier profondément une information avant de la publier ou la partager.

Il sied de signaler que la désinformation, les fakenews, les rumeurs, ont été l’une des causes majeurs n’ayant pas permis la maîtrise de cette maladie qui, du reste fait des dégâts énormes. Une attitude que CONGO CHEK veut combattre en multipliant ce genre des formations à l’avenir et ce, sur d’autres sujets également d’intérêt général.

Victoire Muliwavyo

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