Prévention EBOLA Goma : 2 600 agents sensibilisateurs en activité

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La Propagation de la maladie à virus Ebola ne diffère que trop peu de celle des autres virus contagieux. Une personne atteinte peut contaminer en elle seule plus de cinquante (10) autres qui l’entoure avec une grande probabilité de mourir dans peu de temps si seulement si, il n’y a pas une prise en charge rapide.
La province du Nord-Kivu vient de contre un chiffre élevé des personnes non seulement atteintes, mais des personnes mortes de cette dangereuse maladie. C’est pratiquement dans la région du nord de la province où on comptabilise au moins 800 cas et plus de 500décès plus les cas identifiés en province de l’Ituri.
Pour prévenir la ville de Goma contre cette maladie, la coordination nationale a mobilisé différentes couches de personnes pour commencer une campagne de prévention en ville de Goma.
Hormis les cadres de base, les leaders religieux, les acteurs de la société civile urbaine et les autres secteurs, la coordination de riposte a enrôlé 2 600 relais communautaire en raison de 40 RECO par centre de santé de deux zones de santé de la ville, pour faire la campagne porte à porte afin de parler aux habitants des causes, conséquences et de la prévention de cette maladie.
Chaque jour, une équipe de deux RECO visite 20 ménages de 8h à 14h avec 12 fiches à remplir pour savoir l’identité du ménage visité, le nombre des personnes rencontrées, nombre des malades dans le ménage, les cas suspects, et les personnes contactes en provenance de la région de grand-nord de la province.
Cette dernière classe des travailleurs de la prévention d’Ebola à Goma, qui fait le gros du travail est malheureusement la plus marginalisée.

Pour être très concret, un simple motard engagé dans la riposte en ville de Goma touche 600$ soit 20$ par jour pour avoir passé les jours entiers devant les bureaux de la coordination. Quant à la classe marginalisée celle des relais communautaires catégorie dans laquelle bascule nombreuses femmes et jeunes étudiants, un agent toucherait 50$ (soit 1.6$) à la fin du mois de février.
Il en est de même, la plus part des personnes engagées dans la riposte à Goma, seraient des recommandés des certaines autorités et les familiers pris sans tenir compte de leur compétence.
Ainsi, prévenir et combattre bien la maladie d’Ebola en de Goma, c’est aussi résoudre trop tôt les inégalités dans la répartition de ce qu’on peut avoir disponibiliser pour les parties prenantes. C’est parmi les impératifs qui pourront gêner l’arrivée et propagation de la maladie en ville de Goma.
Rédaction

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