Au nom de son devoir de protection de la population, les FARDC se rendant célèbrent dans les tracasseries des habitants au point que la société civile monte au créneau et promet organiser des actions pour dénoncer l’abus de pouvoir des éléments sensés les protéger, cela presque dans tout le territoire de Masisi.
Selon une source contactée par une radio locale en ville de Goma, les éléments FARDC opèrent de la même manière que les groupes armés hors la loi à Ngungu. Ici les loyalistes biens en tenue militaire sont accusés de pillage des aliments, argent, bétails et autres biens des paysans. « à Kasake à Ngungu nous sommes confis. Les éléments FARDC viennent groupe et pillent toutes les maisons sans distinctions. Ils pillent nos chèvres, habits, vivres et autres biens de valeur… », déplore un habitant qui indique que les économies des ménages tarissent de suite de ce comportement des FARDC.
Outre la bas, à Kitshanga, les FARDC sont accusées d’avoir chassé les agents de la Direction Générale des Recettes du Nord-Kivu (DGR-NK) et eux-mêmes font la perception des taxes au poste, empêchant le bon déroulement du travail de ce service générateur recette de la province.
Pire encore, certains éléments des FARDC du service de renseignement à Nyamitaba se transforment en juges civiles et exigent des amendes illégales aux habitants.
Dans un entretien téléphonique avec votre site, le porte-parole de la 34ème région militaire major Guillaume Ndjike, a dit ne pas avoir des rapports sur ce sujet « Nous revenons de Masisi où les militaires sont plus concentrés sur les attaques des groupes armés et nous n’avons pas vu même un seul militaire qui serait dans ces actes ».
Toutefois, le major a promis des actions disciplinaires à tout militaire qui sera attrapé dans des tels actes. « Nous allons vérifié et il s’avèrerait que cela est exacte, les responsables seront punis car il n’est pas autorisé aux militaires d’ériger des barrières pour rançonner la population ».
Le gouvernement provincial de son côté, aucune réaction pourtant il a toujours dénoncé les exactions des groupes armes qui font la loi dans plusieurs autres parties de la province.
le mariage pourtant bien qui s’était déjà créé entre l’armée et la population, risque de connaître un problème qui sera difficile à résoudre dans le futur.
Rédaction
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